National parks

Madagascar National Parks was born in 1990. This association was state-approved. It ensures the conservation and sustainable and rational management of the national network of national parks and reserves of Madagascar. This conservation mission suggests environmental education, promotion of ecotourism and science and the equitable sharing of benefits generated by protected areas with the local population.

Particularly cherished by the nature, Madagascar, island in the Indian Ocean, is world renowned for its rich biodiversity. The fauna and flora of Madagascar have a very high endemicity level: 80% of animal species and 90% of the vegetation that exist on the island. Globally, Madagascar is representative of an impressive mega-diversity. Indeed, Madagascar, island of the western Indian Ocean (IOC) is one of 34 hotspots of the world biodiversity.

It is a rather flattering label because it makes the Big Island one of the most important regions in terms of rare habitats and flagship species. The conservation of these natural resources is thus included in the international agenda.

This flagship position in the international arena made the island an excellent field of scientific research but also an expanding vein of the ecotourism.

Madagascar National Parks preserve Madagascar’s mega-diversity in the national network of protected areas including 19 national parks, 23 special reserves and 5 complete nature reserves spread throughout the island.
Madagascar National Parks closely links the concept of conservation with the sustainable development. This philosophy integrates the local population in the conservation and management of the protected area.

Concretely, what are the benefits for local communities in their involvement in the conservation of protected areas ?

50% of the revenue of entry fees in protected areas (DEAP) is used to fund activities and micro projects combining the expectations of the people and the conservation goals of the protected area.

Fokontany, villages, towns or groups of towns are the recipients of these micro projects. These can be micro projects for the community, like the construction of a school, a dam or a basic health center in town. But they can also be activities generating income, offered by associations and farmer’s organizations.


Madagascar National Parks a vu le jour en 1990. Cette Association, a été reconnue d’utilité publique. Elle assure la conservation et la gestion durable et rationnelle du réseau national de parcs nationaux et réserves de Madagascar. Cette mission de conservation suggère l’éducation environnementale, la valorisation de l’écotourisme et la science et le partage équitable des bénéfices générés par les aires protégées avec la population riveraine.

Particulièrement choyée par la nature, Madagascar, île de l’océan Indien, est mondialement réputée pour la richesse de sa biodiversité. La faune et la flore malgaches possèdent un taux d’endémicité très élevé: 80 % des espèces animales et 90% de la végétation n’existent que sur l’île. À l’échelle mondiale, Madagascar est représentative d’une mégadiversité impressionnante. En effet, Madagascar, île de l’océan Indien occidental (COI) fait partie des 34 hot-spots de la biodiversité mondiale. C’est un label plutôt flatteur car il fait de la Grande île l’une des plus importantes régions en termes d’habitats rares et d’espèces phares. La conservation de ces richesses naturelles est ainsi inscrite dans l’agenda international.

Cette position-phare sur l’échiquier international fait de l’île un excellent terrain de recherches scientifiques mais aussi un filon porteur de l’écotourisme.

Madagascar National Parks préserve la mégadiversité malgache dans le réseau national des aires protégées comprenant 19 parcs nationaux, 23 réserves spéciales et 5 réserves naturelles intégrales réparties dans toute l’île.

Madagascar National Parks associe étroitement le concept de conservation avec celui dedéveloppement durable. Cette philosophie intègre la population locale dans la conservation et la gestion de l’aire protégée.
Concrètement, quels bénéfices retirent les populations riveraines de leur implication dans la conservation des aires protégées ?
Les 50% des recettes des droits d’entrée dans les aires protégées (DEAP) sont affectées au financement d’activités et microprojets alliant les attentes de la population et les objectifs de conservation de l’aire protégée.

Fokontany, Villages, groupes de villages ou communes sont les bénéficiaires de ces microprojets. Ces derniers peuvent être des microprojets communautaires , à l’exemple de la construction d’une école, d’un barrage ou d’un centre de santé de base dans une commune. Mais ils peuvent aussi être des activités génératrices de revenus qui sont proposées par les associations et organisations paysannes.

Copyright ©2024 Sense Of Oceans | Crédits : Christophe ALIAGA