Flore
The baobab of madagascar
The baobab
During his days improbable creations as God finished plants, he finished his work by a majestic specimen that was the ancestor of the baobab. It became a monster of pride and to bring more humility, God tore to replant upside. Its luster, it will have kept its large swollen trunk but now extends into the sky by its roots.
The Baobab was described for the first time by a European, Prospero Alpino in 1592 in De plantis aegypti liber (Book of Egyptian plants). It is also in the same book that the name baobab was used for the first time in the “ba Hobab” script that became in the 17th century “baobab”. It seems that “ba Hobab” comes from the Arabic word “bu hibab” which means “the tree fruit to many seeds.”Lors de ses improbables journées de créations, alors que Dieu achevait les végétaux, il termina son œuvre par un exemplaire majestueux qui aurait été l’ancêtre du baobab. Celui-ci devint un monstre d’orgueil et pour le ramener à plus d’humilité, Dieu l’arracha pour le replanter à l’envers. De sa superbe, il aura gardé son grand tronc renflé mais ne se prolonge dorénavant dans le ciel que par ses racines.
Le Baobab fut décrit pour la première fois par un européen,Prospero Alpino, en 1592 dans De plantis Aegypti liber(Le livre des plantes d’Egypte). C’est également dans ce même livre que le nom de baobab a été employé pour la première fois sous la graphie « ba hobab » qui est devenue au 17ème siècle « baobab ». Il semble que « ba hobab » provienne du terme arabe « bu hibab » qui signifie « l’arbre aux fruits à nombreuses graines ».
Madagascar est le seul pays possédant plus d’une espèce de baobabs (famille des Bombacacées).
En effet, outre le baobab africain (Adansonia digitata), plusieurs espèces de baobabs poussent à Madagascar, surnommés Reniala (la mère de la forêt) par les populations du Sud et du Sud-Ouest, Za, Bao ou Bozy dans le Nord et le Nord-Ouest. Seul le baobab australien (Adansonia gibbosa gregorii) ne pousse pas dans le pays.
Le nom scientifique Adanson a été attribué par le botaniste Bernard de Jussieu (1699-1777) en hommage à l’explorateur Michel Adanson (1727-1806) qui a été le premier à décrire au Sénégal Adansonia digitata.
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The baobab
During his days improbable creations as God finished plants, he finished his work by a majestic specimen that was the ancestor of the baobab. It became a monster of pride and to bring more humility, God tore to replant upside. Its luster, it will have kept its large swollen trunk but now extends into the sky by its roots.
The Baobab was described for the first time by a European, Prospero Alpino in 1592 in De plantis aegypti liber (Book of Egyptian plants). It is also in the same book that the name baobab was used for the first time in the “ba Hobab” script that became in the 17th century “baobab”. It seems that “ba Hobab” comes from the Arabic word “bu hibab” which means “the tree fruit to many seeds.”Lors de ses improbables journées de créations, alors que Dieu achevait les végétaux, il termina son œuvre par un exemplaire majestueux qui aurait été l’ancêtre du baobab. Celui-ci devint un monstre d’orgueil et pour le ramener à plus d’humilité, Dieu l’arracha pour le replanter à l’envers. De sa superbe, il aura gardé son grand tronc renflé mais ne se prolonge dorénavant dans le ciel que par ses racines.
Le Baobab fut décrit pour la première fois par un européen,Prospero Alpino, en 1592 dans De plantis Aegypti liber(Le livre des plantes d’Egypte). C’est également dans ce même livre que le nom de baobab a été employé pour la première fois sous la graphie « ba hobab » qui est devenue au 17ème siècle « baobab ». Il semble que « ba hobab » provienne du terme arabe « bu hibab » qui signifie « l’arbre aux fruits à nombreuses graines ».
Madagascar est le seul pays possédant plus d’une espèce de baobabs (famille des Bombacacées).
En effet, outre le baobab africain (Adansonia digitata), plusieurs espèces de baobabs poussent à Madagascar, surnommés Reniala (la mère de la forêt) par les populations du Sud et du Sud-Ouest, Za, Bao ou Bozy dans le Nord et le Nord-Ouest. Seul le baobab australien (Adansonia gibbosa gregorii) ne pousse pas dans le pays.
Le nom scientifique Adanson a été attribué par le botaniste Bernard de Jussieu (1699-1777) en hommage à l’explorateur Michel Adanson (1727-1806) qui a été le premier à décrire au Sénégal Adansonia digitata.
The mangroves of Madagascar
The mangroves
While in most parts of the world, oceans gnaw the coast, mangroves they advance to the sea and are “back.” Mangroves are found in tropical areas of the globe and its most characteristic trees are mangroves with their buttress roots that allow them to be anchored to the bottom and resist tidal. In the western Indian Ocean, Madagascar has the largest area of mangrove with nearly 330 000 ha of which 97% on the west coast. Few species of mangrove trees are is a difficult environment to access, cluttered with pneumatophores and stilt roots, on a muddy bottom.Les mangroves
Si dans la plupart des endroits du globe, les océans rongent le littoral, les mangroves elles avancent sur la mer et la font “reculer”. Les mangroves sont rencontrées dans les zones tropicales de l’ensemble du globe et ses arbres les plus caractéristiques sont les palétuviers avec leurs racines échasses qui leur permettent de s’ancrer au fond et de résister au balancement des marées.
Dans l’ouest de l’océan Indien, Madagascar présente la plus grande surface de mangrove avec près de 330 000 ha dont 97 % sur la côte occidentale. Peu d’espèces d’arbres constituent la mangrove qui est un milieu difficile d’accès, encombré de pneumatophores et de racines échasses, sur un fond vaseux.
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The mangroves
While in most parts of the world, oceans gnaw the coast, mangroves they advance to the sea and are “back.” Mangroves are found in tropical areas of the globe and its most characteristic trees are mangroves with their buttress roots that allow them to be anchored to the bottom and resist tidal. In the western Indian Ocean, Madagascar has the largest area of mangrove with nearly 330 000 ha of which 97% on the west coast. Few species of mangrove trees are is a difficult environment to access, cluttered with pneumatophores and stilt roots, on a muddy bottom.Les mangroves
Si dans la plupart des endroits du globe, les océans rongent le littoral, les mangroves elles avancent sur la mer et la font “reculer”. Les mangroves sont rencontrées dans les zones tropicales de l’ensemble du globe et ses arbres les plus caractéristiques sont les palétuviers avec leurs racines échasses qui leur permettent de s’ancrer au fond et de résister au balancement des marées.
Dans l’ouest de l’océan Indien, Madagascar présente la plus grande surface de mangrove avec près de 330 000 ha dont 97 % sur la côte occidentale. Peu d’espèces d’arbres constituent la mangrove qui est un milieu difficile d’accès, encombré de pneumatophores et de racines échasses, sur un fond vaseux.
Forests and thickets
Thorny thickets typical sub- arid zone
There is no real rainy season , these being an occasional basis . The annual rainfall does not exceed 500 mm in some areas of the South West . If large trees are still encountered in places such as baobab and tamarind , vegetation forms a thorny thicket. This is more or less filled up, dominated by the largest species of the family didiéracées or white latex of Euphorbia , typical of the south. Other notable features include the Pachypodium some species can reach several meters high , recalling the baobabs, or kalanchoes (pronounced ” Kalankoé ” ), some species are locally called ” big ears ” to translate the strange shape for large thick leaves .
Fourrés épineux typiques à l’étage sub-aride
Il n’existe pas de réelle saison des pluies, celles-ci n’étant qu’occasionnelles. La pluviométrie annuelle ne dépasse pas 500 mm en certains endroits du Sud Ouest. Si de grands arbres sont encore rencontrés par endroit comme les baobabs ou les tamariniers, la végétation forme un fourré épineux.
Ce fourré est plus ou moins haut, dominé par les plus grandes espèces de la famille des Didieracées ou par des euphorbes au latex blanc, typiques du sud. Parmi les autres éléments remarquables, notons les pachypodes dont certaines espèces peuvent atteindre plusieurs mètres de haut en rappelant les baobabs, ou les kalanchoes (prononcez “Kalankoé”) dont certaines espèces sont localement appelées “grandes oreilles” pour traduire l’étrange forme des grandes feuilles épaisses.
Le long des plus grands fleuves, une forêt galerie peut se développer et elle sera alors dominée par les tamariniers dont les fruits sont appréciés par le Lemur catta. Flore et faune du Sud de Madagascar sont particulières et si les Didieracées peuvent rappeler certaines plantes des déserts mexicains, le fourré épineux du sud de Madagascar est unique au monde, par sa physionomie mais aussi par les formes de vie tellement particulières qu’il abrite.
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Thorny thickets typical sub- arid zone
There is no real rainy season , these being an occasional basis . The annual rainfall does not exceed 500 mm in some areas of the South West . If large trees are still encountered in places such as baobab and tamarind , vegetation forms a thorny thicket. This is more or less filled up, dominated by the largest species of the family didiéracées or white latex of Euphorbia , typical of the south. Other notable features include the Pachypodium some species can reach several meters high , recalling the baobabs, or kalanchoes (pronounced ” Kalankoé ” ), some species are locally called ” big ears ” to translate the strange shape for large thick leaves .
Fourrés épineux typiques à l’étage sub-aride
Il n’existe pas de réelle saison des pluies, celles-ci n’étant qu’occasionnelles. La pluviométrie annuelle ne dépasse pas 500 mm en certains endroits du Sud Ouest. Si de grands arbres sont encore rencontrés par endroit comme les baobabs ou les tamariniers, la végétation forme un fourré épineux.
Ce fourré est plus ou moins haut, dominé par les plus grandes espèces de la famille des Didieracées ou par des euphorbes au latex blanc, typiques du sud. Parmi les autres éléments remarquables, notons les pachypodes dont certaines espèces peuvent atteindre plusieurs mètres de haut en rappelant les baobabs, ou les kalanchoes (prononcez “Kalankoé”) dont certaines espèces sont localement appelées “grandes oreilles” pour traduire l’étrange forme des grandes feuilles épaisses.
Le long des plus grands fleuves, une forêt galerie peut se développer et elle sera alors dominée par les tamariniers dont les fruits sont appréciés par le Lemur catta. Flore et faune du Sud de Madagascar sont particulières et si les Didieracées peuvent rappeler certaines plantes des déserts mexicains, le fourré épineux du sud de Madagascar est unique au monde, par sa physionomie mais aussi par les formes de vie tellement particulières qu’il abrite.
Flora
Some background on the flora of Madagascar
The Big Island has one of the most extraordinary botanical and faunal assemblages curiosities monde.Sur Botanically, some facts and figures are enough to show that wealth:
– LThe island has more than 12 000 species of flowering plants of which 80% are endemic (more than 95% in the south and south-west)
– There are 174 species of palms which 169 are endemic (while meeting all Africa has only about 60!!). And experts say that it has not found any.La grande île détient un des plus extraordinaires assemblages de curiosités botaniques et faunistiques du monde.Sur le plan botanique, quelques faits et quelques chiffres suffisent à montrer cette richesse:
– L’île possède plus de 12 000 espèces de plantes… … dont plus de 80% sont endémiques (plus de 95% pour le sud et le sud-ouest)
– Il y a 174 espèces de palmiers dont 169 sont endémiques (alors que toute l’Afrique réunie n’en a que 60 environ !!!!). Et les spécialistes affirment que l’on n’a pas tout découvert.
– Madagascar possède entre 1000 et 1500 espèces d’orchidées (là encore, il y en a plus que pour tout le continent africain dans son ensemble) et beaucoup reste à faire chez les espèces épiphytes des grandes forêts denses humides qui restent
– Il y a 6 espèces endémiques de baobabs sur Madagascar alors qu’il n’y en a qu’une en Afrique (que l’on retrouve aussi à Madagascar) et une en Australie.
– Chez le genre Pachypodium, certaines espèces ressemblent tellement à de la pierre qu’en période de floraison, on dirait des rochers fleuris
– Madagascar possède plusieurs familles de plantes qui lui sont propres: les cas de famille de plantes propres à un seul pays sont rarissimes dans le monde. En général, les cas d’endémisme ne concernent que les espèces et non des familles entières.
Some background on the flora of Madagascar
The Big Island has one of the most extraordinary botanical and faunal assemblages curiosities monde.Sur Botanically, some facts and figures are enough to show that wealth:
– LThe island has more than 12 000 species of flowering plants of which 80% are endemic (more than 95% in the south and south-west)
– There are 174 species of palms which 169 are endemic (while meeting all Africa has only about 60!!). And experts say that it has not found any.La grande île détient un des plus extraordinaires assemblages de curiosités botaniques et faunistiques du monde.Sur le plan botanique, quelques faits et quelques chiffres suffisent à montrer cette richesse:
– L’île possède plus de 12 000 espèces de plantes… … dont plus de 80% sont endémiques (plus de 95% pour le sud et le sud-ouest)
– Il y a 174 espèces de palmiers dont 169 sont endémiques (alors que toute l’Afrique réunie n’en a que 60 environ !!!!). Et les spécialistes affirment que l’on n’a pas tout découvert.
– Madagascar possède entre 1000 et 1500 espèces d’orchidées (là encore, il y en a plus que pour tout le continent africain dans son ensemble) et beaucoup reste à faire chez les espèces épiphytes des grandes forêts denses humides qui restent
– Il y a 6 espèces endémiques de baobabs sur Madagascar alors qu’il n’y en a qu’une en Afrique (que l’on retrouve aussi à Madagascar) et une en Australie.
– Chez le genre Pachypodium, certaines espèces ressemblent tellement à de la pierre qu’en période de floraison, on dirait des rochers fleuris
– Madagascar possède plusieurs familles de plantes qui lui sont propres: les cas de famille de plantes propres à un seul pays sont rarissimes dans le monde. En général, les cas d’endémisme ne concernent que les espèces et non des familles entières.